© David Ducoin
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Kham, la tête dans le ciel

Tibet - dates approximatives du 15 septembre au 15 octobre2025 - 30 jours


Imaginé et guidé par Delphine Roy


Nous avons reçu beaucoup de demandes si bien que le groupe est vraisemblablement complet. Mais mettez quand même votre nom sur une liste d’attente

Un peu de géographie

Immense contrée dans l'est du Tibet, le Kham, pour moi, c'est surtout ses habitants, leur histoire, leur quotidien, leur fierté, leur courage et leur détermination. J’aimerais qu’on s’y aventure, tout doucement, par sa partie orientale. Oser un trek loin, très loin des lieux communs, dans la région de Dzongsar, en terrain bien connu de notre contact local puisqu’il en est originaire. Avoir la chance de découvrir son monde, au rythme lent de ces nomades qui fréquentent ce territoire. D’ailleurs, Konchok, est nomade lui-même, en êtes-vous surpris?
Le Kham est une région riche en sites historiques bouddhistes (dont il faut parfois m’extirper tellement ils me fascinent…) et où la grande diversité de cette philosophie nous est exposée. C’est aussi, selon moi, une des dernières régions du Tibet oriental où cavaliers Kham et ferveur bouddhiste peuvent encore s’exprimer et s’orchestrer, loin des restrictions mises en place par le gouvernement chinois.

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Mais avant d'aller plus loin...

Rencontrez brièvement votre guide Delphine

Connaissez-vous Delphine? Nous oui, un peu, enfin, quand on réussit à mettre la main dessus! Ce pourrait être dans le Grand Nord où elle donne des cours de secourisme. Ou encore au Bouthan où elle a enseigné l’anglais quelques années. Peut-être l'apercevrez-vous alors qu'elle descend en pirogue sur un grand fleuve d’Afrique! Quelques fois, vous pourriez aussi la surprendre à la porte du vieux minibus qu’elle a aménagé pour y vivre. Mais surtout, pour vous, vous auriez dû voir les étoiles dans les yeux, quand on a évoqué l’idée qu’elle retourne dans le Kham au Tibet. Chose certaine, si vous la rencontrez, vous voudrez partir avec elle.

Consultez le profil complet

Pourquoi cette région

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Retourner au Kham me hante depuis presque 20 ans.
La lumière du soleil levant sur les montagnes parsemées de murs de manis, un certain matin d’automne.
L’eau cristalline d’un lac sacré, bordé par des milliers de drapeaux de prière.
Des cols à 5000m d’altitude où on a la tête qui tourne, par manque d’air, mais encore plus par la majestuosité des paysages.
Une source d’eau chaude, oasis de chaleur inespérée sortant des profondeurs de la terre.
Des débats philosophiques improvisés dans la cour d’une impressionnante école de philosophie bouddhiste.
L’imprimerie de Dergué, une des plus importantes imprimeries tibétaines, où d’anciennes planches de bois gravées perpétuent encore les écrits du Tanjur et du Kanjur.
Une nonnerie où résident plus de 10 000 nonnes.
Un ermitage suspendu, à flanc de montagne, sentiment de vertige.

Mais surtout…
Les troupeaux de yaks levant des nuages de poussière éphémères.
Un festival de courses de chevaux organisé, voltiges et jeux improvisés, avec plaisir, on s’y accroche les pieds.
La force de ces cavaliers croisés en cours de route.
Le thé fumant partagé avec leurs familles, sous la tente, un ciel étoilé illuminant notre nuitée.
Des fous rires qui n’ont de langage commun, que celui de la bienveillance.

Ce sont surtout ces derniers souvenirs qui m’habitent et…que j’aimerais, avec quelques chanceux, revisiter et partager.

L'Instinct

La prévisibilité est pratique pour un organisateur. Mais donner un itinéraire des mois à l'avance relève plus de la manufacture que de l'aventure. Notre façon de faire est plus complexe, mais c'est notre métier et ça nous amuse. Voici quand même notre intention...

J'ai l'instinct de vous faire vivre un retour à un rythme nomade, avec des journées écourtées, où la marche ne devient qu’un véhicule, où les photos prises ne sont qu’une parcelle des souvenirs rapportés et où les échanges, la tolérance, le respect et la curiosité des différents styles de vie seront mis de l’avant.

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Dans cette aventure, pas question d’une formule où une équipe locale subvient à nos besoins et nous traite aux petits oignons. L’idée est de s’abandonner et de faire partie, tous ensemble, de ce périple; de s’entraider, de mettre la main à la pâte. Montage et démontage de campement, chargement des animaux, concoction des repas, cueillette de l’eau, dîners, soupers: tout sera fait ensemble. Plus d’équipe locale et de voyageurs, qu’un groupe hétéroclite parcourant un territoire, s’entraidant, échangeant et apprenant à se connaître.

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L’idée germe de pousser ce périple vers le Nangchen, par la suite, pour y faire un deuxième trek avec la même ambiance. Et pourquoi pas, tant qu’à être rendus aux portes du Tibet central, pousser jusqu’à la mythique Lhassa.

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Pour vos yeux, en attendant le reste de l'itinéraire.

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Pour vos yeux, en attendant le reste de l'itinéraire.

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Informations techniques

Nous avons reçu beaucoup de demandes si bien que le groupe est vraisemblablement complet. Mais mettez quand même votre nom sur une liste d’attente

  • Confirmé, pas mal complet...
  • La description du voyage n’est pas terminée mais la proposition est si audacieuse que les gens se sont manifestés en nombre suffisant pour confirmer le voyage...même si le prix n’y est pas encore! Mais nous savons que ce sera un long voyage (environ du 15 septembre au 15 octobre). Mais, on ne sait jamais, si le voyage vous intéresse, écrivez-nous, nous vous tiendrons au courant. D’ici la fin mars nous saurons tout! Enfin, tout ce qu’il y a savoir sur un voyage au Tibet avec Delphine : un prix, des dates et une proposition unique.
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Parlons effort, confort et climat

J’y travaille j’y travaille mais sachez que...ce sera un sacré défi logistique pour moi et pour l’équipe locale ...et pour vous, il faudra une capacité à vous adapter, à accepter les aléas d’un voyage aussi audacieux. On abuse souvent du mot «aventure» pour un voyage guidé (pas chez les Vagabonds bien sûr 😊), mais ici ce sera le cas.

Ce que nous ferons avec votre argent

Voyager coûte cher: au voyageur, en dollars et à l’environnement, en GES. Et aussi, malheureusement, quelquefois, aux gens que nous visitons.

Nous n’aurions pas créé Instincts Vagabonds si nous ne pensions pas apporter un vent de fraîcheur dans le milieu. Mais nous voulions pousser plus loin, pour que notre travail enrichisse des gens bien réels (ceux que nous côtoyons de par le monde) plutôt que des actionnaires. Instincts Vagabonds sera donc une Organisation Sans But Lucratif (OSBL).

Concrètement, cela signifie que nous mettons nos responsabilités sociales et environnementales au cœur de notre projet, devant la rentabilité, les profits et les marges. Nous respectons nos engagements envers nos vagabonds sédentaires (les équipes locales), pour qui un voyage représente une grande proportion de leur revenu annuel. C’est la raison qui nous incite à confirmer d’ores et déjà pratiquement tous nos voyages. À nous, les choyés de la planète, d’assumer le risque.

Ceci dit, nous croyons fermement que la saine gestion financière bénéficiera à la planète (pour paraphraser Chouinard : la planète est notre seule actionnaire). Nous ne sommes pas nés de la dernière pluie en affaires. Nous savons que nous pouvons y arriver, et très bien, avec un modèle économique qui repose sur des frais fixes extrêmement bas. Nous n’avons pas de bureau. Notre masse salariale est essentiellement limitée aux vagabonds (qui sont payés seulement si le voyage a lieu) plus un ou deux salaires «administratifs». En contrepartie de leur implication, les guides bénéficieront du plus haut salaire offert au Québec. Pour le site web et les logiciels de gestion nous avons opté pour la simplicité avec Shopify (une entreprise canadienne). En quelque sorte, notre site web est «amateur». Nous payons un abonnement annuel plus que raisonnable.

Pour le marketing nous comptons d’abord sur les réseaux, formels et informels, de tous ces guides-vagabonds qui ont guidé, depuis plus de 25 ans, plusieurs milliers de personnes. Ils jouissent tous d’une grande crédibilité. Nous pensons aussi que les médias traditionnels s’intéresseront à nous puisque c’est...nouveau, original et audacieux. Et surtout, nous comptons sur vous, les voyageurs, pour en parler.

Merci de votre confiance.

Parlez à un guide ou à un guide!

Les zinternets c'est bien beau mais rien ne vaut une discussion avec le guide. Si vous préférez que l'on vous parle de l'offre générale demandez à parler avec un conseiller* qui connaît tous les voyages. Notre promesse c'est que dans les deux cas vous parlerez à un guide et non pas à un vendeur.