L’eau salée, c’est mon élément. Quand je suis près de la mer, je me sens complète, remplie. C’est une joie viscérale.
Le kayak de mer s’est imposé comme une évidence : une façon douce, silencieuse et respectueuse de parcourir les côtes.
Au Québec, j’ai pu approfondir mes compétences : navigation en eau froide, vagues, courants, traversées exposées. Ensuite, j’ai eu la chance d’appliquer ces apprentissages à travers le monde : Mexique, Panama, Groenland, Papouasie...
Je ne suis pas une kayakiste de performance ou de démonstration. Je vois le kayak comme un instrument pour accéder à des lieux cachés, pour ressentir la mer – et ses habitants – pleinement.
Et ce bonheur-là, je le partage avec d’autres. Avec celles et ceux qui, comme moi, ont une profonde sensibilité pour les océans et les grandes étendues d’eau.