Les Pamir: perdus au centre du monde

Tadjikistan - été 2027 (à confirmer) - 25 jours sur place


En repérage et en création par Alexandre Bilodeau Desbiens


Il y a des ces pays

Il y a de ces endroits qui vous marquent à jamais. Qui vous laissent bouche bée pour l’éternité. Mais ce n’est rarement qu’un seul joli paysage qui a cet effet. Ce sentiment qui s’imprime au fer rouge naît d’un émerveillement et d’un dépaysement inattendu. Et il est nécessairement doublé de rencontres humaines.


C’est là où j’ai envie d’aller. Ou de retourner comme dans ce voyage que je vous propose.


Il y a peu de promesses qui peuvent être faites lors d’un voyage en Asie centrale. Et je ne vous en ferai qu’une: ce sera une aventure unique. Nous n’irons pas dans le plus grand des «Stan», le Kazakhstan. Pas dans le plus visité non plus, le Kirghizistan. Pas dans le plus autoritaire, le Turkménistan, ni le plus haut, le Pakistan, ou le plus historique, l’Ouzbékistan.


Je vous emmène dans le plus… montagneux. Rien de moins.


Le Tadjikistan. Avec 92% de son territoire recouvert de montagnes, il est difficile d’être plus reculé.


Ce ne sera donc pas simple – j’ai rarement voyagé dans un pays aussi peu propice au tourisme de masse. Et c’est parfait comme ça. Il y aura des routes « dépaysantes », des journées chaudes, des sentiers inexistants et des repas intrigants. Mais il y aura aussi des vallées immenses, des connexions humaines, un peu de haute altitude et des chaînes de montagnes entières à notre portée.


Et tant qu’à se rendre là où personne ne va, aussi bien en profiter pour visiter plus d’une région du pays. Différentes, sauvages, grandioses. La seule constante: la majesté des paysages. Nous serons seuls, perdus au centre du monde.


*Note: vous ne porterez pas de gros sac à dos.

Alexandre Bilodeau-Desbiens