Côtoyer les plus hauts volcans

Équateur - 6 au 23 janvier 2026 - 18 jours sur place


Imaginé et guidé par Alain Lacroix


Le voyage est confirmé, il reste 2 places

Un peu de géographie

Tout y est!

L’Équateur est situé tout juste sur … l’équateur!  Et ce petit pays d’Amérique du sud, est petit!  Mais il est grand, très grand, du fait de sa diversité. À l’Ouest, la côte du Pacifique (avec les Galapagos) et l’Amazonie à l’est. Au centre, là où nous nous amuserons, la formidable chaîne des Andes.  Et plus que nulle part ailleurs, ce sont les volcans, dont certains sont encore actifs, qui la caractérisent.  Nous vous proposons d’atteindre le point le plus éloigné du centre de la Terre, la plus haute montagne du pays, un temps considérée comme la plus haute du monde, le Chimborazo. Mais pas que! Et si on essayait de s’acclimater sur le 2e sommet du pays, le Cotopaxi!?

Mais avant d'aller plus loin...

Rencontrez brièvement votre guide Alain

Ce sera un retour en Équateur pour moi mais je côtoie les montagnes du sud régulièrement. En janvier 2025, par exemple, je guidais l’ascension de l’Aconcagua pour une 5e, 6e fois? Cette fois, l’idée est plus venue d’une discussion avec des amis (et des amis d’amis). « Ah tu connais l’Équateur? Nous guiderais-tu?». «Ben oui, avec plaisir!». Disons que ma vie, ces temps-ci, m’emmène souvent ailleurs. En 2025 par exemple, j’ai commencé en Argentine, ensuite au Népal et au Bouthan. Puis aux Philippines pour faire de la plongée. Cet été j’ai descendu une belle rivière (36 jours quand même) au nord du Québec. En septembre ce sera la Croatie et la Slovénie et de là, je retourne au Népal en octobre. Rendez-vous à Quito en janvier pour clore, avec un défi d’envergure, ce beau tour du monde!

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Pourquoi cette région

Parce que la beauté est une raison suffisante

J’y suis déjà allé, mais l’envie d’un retour s’est manifestée récemment. Ça arrive dans ce métier de vouloir retourner tout là-haut! Et en parlant autour de moi, rapidement, quelques personnes ont confirmé non seulement leur intérêt mais leur participation. C’est certain alors, j’y retourne en janvier 2026.


Ce sera donc un voyage qui donnera la part belle aux cultures locales, aux marchés colorés, à la cuisine originale, aux paysages éclatants tout en nous acclimatant, lentement mais efficacement. Parce que nous allons monter. Et descendre. Et remonter. Mais bon si vous ne voulez pas cela, faudrait songer à un autre voyage.


Le Chimborazo (6263m) et le Cotopaxi (5897m) sont plus bas que l’Aconcagua (6962m), mais ce sont des plus belles montagnes. Et dans le monde actuel, rechercher la beauté est une raison plus que pertinente. Et si on ajoute un solide défi, alors on a tout.

L'Instinct

La prévisibilité est pratique pour un organisateur. Mais donner un itinéraire des mois à l'avance relève plus de la manufacture que de l'aventure. Notre façon de faire est plus complexe, mais c'est notre métier et ça nous amuse. Voici quand même notre intention...

Quito, la capitale du pays. Déjà 2 800 mètres à la sortie de l’avion. Nous vous y donnons rendez-vous mais c’est une belle idée d’y arriver un peu avant pour non seulement vous acclimater, mais pour en profiter. Quito, entre les montagnes, est une capitale coloniale magnifique.

Puis nous prenons la route quelques heures, direction Otavalo. Direction acclimatation. Et là tout autour, nous avons l’embarras du choix. Peut-être irons-nous marcher autour de lacs à 3500m ou dans la pampa vers de petits sommets qui, à plus de 4000m, nous font déjà sentir que...ce sera exigeant. Fuya Fuya, Yanahurco, Cotacachi, Imbabura, nous aurons le choix. Le soir, le confort de l’auberge, de la douche et surtout le sourire des habitants (les Otavalos) nous permettent de nous retaper. Demain nous irons plus haut.

Dans quelques jours nous frôlerons, et espérons, dépasserons les 6000m. Mais pour l’instant, c’est le temps d’être intelligents et de continuer la progression. Pichincha d’abord à près de 4800m. Illiniza ensuite pour dépasser les 5000m. Toujours retour plus bas. C’est une méthode d’acclimatation très efficace : monter haut le jour et redescendre pour dormir.

Si, dans nos voyages, le but n’est pas toujours d’atteindre le sommet, ici, clairement, nous orientons les marches afin de maximiser nos chances. Rendez-vous donc dans le parc du Cotopaxi pour une tentative d’ascension de nuit. Si tout va bien, si le glacier nous donne la permission, nous atteindrons le sommet peu après le lever du soleil pour contempler l’énorme cratère au sommet.


Puis une journée de congé et, pour ceux qui en veulent encore, ce sera le départ vers le plus haut sommet du pays. Ce Chimborazo qui fera dire à Humboldt, grand explorateur du 19e siècle, que voilà certainement la plus haute montagne du monde. Il avait en partie raison puisque la planète étant aplatie à l’équateur, le sommet est le point le plus distant du centre de la Terre.

Et si malgré votre entrainement, votre volonté, vos efforts, le corps refusait de collaborer? Soyez convaincu que le voyage ne sera pas un échec. Les gens que vous croiserez, les paysages variés (il y a plusieurs montagnes dans ce voyage!), vos collègues, les sourires, tout ça en vaut le déplacement. Et peut-être que ce sera le début d’une longue série de voyages en montagne...malgré tout. Parce que d’une façon ou d’une autre, cet environnement vous rendra plus humble. Au point de vous dire : «allez, on recommence!».


Et puis, en pays volcanique qui se respecte, les eaux thermales abondent. Vous en profiterez avant, pendant, après. Voyage exigeant donc, mais qui récompense.

Informations techniques

Le voyage est confirmé, il reste 2 places

Prix*


5985$

  • 6 au 23 janvier 2026
  • Durée sur place: 18 jours
  • Rendez-vous à Quito


* Par virement Interac (taxes incluses)

Parlons effort, confort et climat

Un peu de logistique et ce qui vous attend au niveau de l'effort et du confort. 

Tout comme l’Équateur nous offre une variété saisissante sur un petit territoire, ce voyage vous offrira de tout sur une relativement courte période.


De toute évidence ce voyage demande une excellente forme physique surtout si tous les sommets sont des objectifs pour vous. Il est aussi possible de faire les «petits», ceux qui ne dépassent pas vraiment 5000m et aviser sur place si la neige, les glaciers et les départs de nuit vous happent. Au niveau technique, pour les 2 derniers sommets, vous mettrez des crampons et marcherez en cordée. Nous parlons donc ici d’initiation à l’alpinisme.Il est de toute façon impératif que vous parliez avec le guide, Alain.


Au niveau du climat, l’Équateur oscille entre beau temps, mauvais temps toute l’année, tous les jours, toutes les heures...le pays n’est pas si vert pour rien. Il faut prévoir qu’on aura tout donc. Mais vous n’aurez pas, avantage considérable ici, à monter la tente le soir venu. Une joyeuse combinaison d’auberges, de gîtes et de refuges permettra le repos avant le défi du lendemain.

Ce que nous ferons avec votre argent

Voyager coûte cher: au voyageur, en dollars et à l’environnement, en GES. Et aussi, malheureusement, quelquefois, aux gens que nous visitons.

Nous n’aurions pas créé Instincts Vagabonds si nous ne pensions pas apporter un vent de fraîcheur dans le milieu. Mais nous voulions pousser plus loin, pour que notre travail enrichisse des gens bien réels (ceux que nous côtoyons de par le monde) plutôt que des actionnaires. Instincts Vagabonds sera donc une Organisation Sans But Lucratif (OSBL).

Concrètement, cela signifie que nous mettons nos responsabilités sociales et environnementales au cœur de notre projet, devant la rentabilité, les profits et les marges. Nous respectons nos engagements envers nos vagabonds sédentaires (les équipes locales), pour qui un voyage représente une grande proportion de leur revenu annuel. C’est la raison qui nous incite à confirmer d’ores et déjà pratiquement tous nos voyages. À nous, les choyés de la planète, d’assumer le risque.

Ceci dit, nous croyons fermement que la saine gestion financière bénéficiera à la planète (pour paraphraser Chouinard : la planète est notre seule actionnaire). Nous ne sommes pas nés de la dernière pluie en affaires. Nous savons que nous pouvons y arriver, et très bien, avec un modèle économique qui repose sur des frais fixes extrêmement bas. Nous n’avons pas de bureau. Notre masse salariale est essentiellement limitée aux vagabonds (qui sont payés seulement si le voyage a lieu) plus un ou deux salaires «administratifs». En contrepartie de leur implication, les guides bénéficieront du plus haut salaire offert au Québec. Pour le site web et les logiciels de gestion nous avons opté pour la simplicité avec Shopify (une entreprise canadienne). En quelque sorte, notre site web est «amateur». Nous payons un abonnement annuel plus que raisonnable.

Pour le marketing nous comptons d’abord sur les réseaux, formels et informels, de tous ces guides-vagabonds qui ont guidé, depuis plus de 25 ans, plusieurs milliers de personnes. Ils jouissent tous d’une grande crédibilité. Nous pensons aussi que les médias traditionnels s’intéresseront à nous puisque c’est...nouveau, original et audacieux. Et surtout, nous comptons sur vous, les voyageurs, pour en parler.

Merci de votre confiance.

Parlez à un guide ou à un guide!

Les zinternets c'est bien beau mais rien ne vaut une discussion avec le guide. Si vous préférez que l'on vous parle de l'offre générale demandez à parler avec un conseiller* qui connaît tous les voyages. Notre promesse c'est que dans les deux cas vous parlerez à un guide et non pas à un vendeur.