Guider comme nous voyageons, ça c’est motivant! Revoir des gens et des endroits que nous aimons, bien sûr. Mais en y apportant toujours une touche personnelle. Nous irons plus d’une fois en Crète ou au Népal, mais ce sera toujours un peu différent. Il en résultera donc des voyages rares et souvent audacieux. Ce qui rime plus avec unicité que difficulté. D’où cette idée que vous parlerez avec LE guide qui vous donnera SA version. Le Groenland de Marina n’est pas celui de Bernard. Et si nous poussons le raisonnement, il est fort possible, pour descendre de grandes rivières en canot par exemple, que le guide ne l’est jamais faite. Que son choix s’explique par un rêve sur une carte, ce qui est amplement suffisant non?